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La mort et l'enfant roi

🌸Lydie 🌸



résumé

Quand la Mort en personne fait un burn-out, rien ne va plus. Et quand, en plus, l'ange funeste oublie de ramener l'âme d'un enfant autiste pour qui l'heure était venue, c'est une catastrophe. Assoiffé de découvertes et d'un irrépressible besoin d'humanité, il va alors devoir descendre sur Terre pour réparer son erreur. Mais ici-bas, rien n'est simple et gérer des sentiments humains n'est pas chose facile. Pourtant, la seule certitude de la vie est bien sa finitude.





Née en 1986 aux portes de la Bretagne , Sandrine Périgois publie ici son troisième roman, ponctué de poésie et d'urgences de vivre









"La mort et l'enfant roi" un titre qui m'a d'abord interpellé et je peux le dire même un peu fait peur, car qui n'a pas peur de la mort?


Et bien je remercie aujourd'hui Sandrine Périgois pour m'avoir donné une autre vison de ce que représente cet ange funeste.


Adam, le digne représentant de la mort, se voit envoyer sur terre pour réparer une faute impardonnable à son niveau.

En effet, alors que l'accident tragique d'un petit garçon de huit ans aurait dû lui coûter la vie, Adam n'était pas à son poste pour récupérer l'âme de cet enfant.

Fait inconcevable car l'équilibre ne doit jamais être perturbé.


Il ne lui reste plus qu'à se rendre sur terre pour rétablir cette erreur. mais la mort n'avait pas prévu de prendre gout aux joies terrestres, ni de s'attacher à leurs occupants.


J'ai adoré ma lecture aussi étonnante soit-elle.

L'auteure a choisi de donner la parole à un personnage qui incarne la mort et laisser parler ses sentiments.


Ce récit est rempli d'émotions, la plume de l'auteure nous cajole, je n'ai ressenti que amour et tendresse malgré deux sujets traités extrêmement forts .

Car ici il ne s'agit pas que de la mort mais aussi de l'enfant roi qui n'est autre qu'un petit garçon autiste.


La rencontre de ces deux personnages est percutante et remet tout en question.

Il ne reste que compassion et amour à la fin de ce récit.


J'ai également beaucoup aimé Lena, la maman du petit garçon, sa dévotion et sa convivialité m'ont beaucoup touché.


Ce roman est sur un format court, mais j'aurais beaucoup aimé en lire d'avantage, car je n'ai pas réussi à lâcher ma lecture.

Je l'ai refermée avec un sentiment d'apaisement et de plénitude.


Vous ne verrez plus jamais la mort sous forme de faucheuse après cette merveilleuse histoire.

Et je remercie Sandrine Périgois de m'avoir proposé cette nouvelle qui me restera très longtemps en mémoire.

❤️❤️❤️❤️❤️/5



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